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bienvenue sur mon blog saint-didier, la résidence de la honte 18 mai 2010 le très respecté ancien notaire de fort de france, maitre guy plissonneau-duquêne, qui à la retraite se targue d’aider les martiniquais sur des problèmes d’héritage et d’immobilier avec un blog mettant nombre d’articles de loi à leur disposition, semble avoir quelque peu oublié pour lui-même les conseils qu’il donne. a paris, il fait ainsi l’objet avec sa femme d’une plainte pour entrave à la loi du 6 juillet 1989 sur les rapports locatifs, manoeuvres frauduleuse et atteinte à la vie privée. alors que la réglementation est stricte obligeant la rédaction d’un bail écrit avec un locataire, lui il se sent au dessus de cela et loue carrément ses logements au noir, se faisant payer en liquide sans délivrer de quittance en totale infraction avec les lois de la république. un comble pour un officier ministériel censé les représenter et les défendre. d’autant plus que son avocat, maître michèle dourdet du cabinet « claude & associés », au lieu de trouver une solution à l’amiable contre un des locataires mécontents, a produit un faux caractérisé en justice qualifiant la location au noir de « prêt à usage gratuit de logement » mentant ainsi sciemment au tribunal d’instance de paris, une plainte pour manquement à la déontologie professionnelle a été transmise contre elle aux bâtonniers thierry wickers et jean castelain (respectivement président du conseil national des barreaux et du barreau de paris). elle risque la radiation, si ce n’est une suspension. l’affaire se passe donc dans les quartiers chics de la capitale, à la résidence saint-didier, , un ensemble de verre et d’acier construit par francis bouygues avec galerie marchande en sous sol. maître guy plissonneau-duquêne y possède plusieurs logements qu’il loue ainsi au noir notamment de 2004 à 2009 au baron charles de varine. comme on dit familièrement entre hypocrisie mondaine et petits fours, tout se passait bien sous le manteau en se moquant du fisc, faisant faire de fausses déclarations, jusqu’à qu’un autre locataire, yves berton de kävin’ ka, également entré dans les lieux en 2004, soit exaspéré d’une telle situation et demande en 2008 qu’on y mette fin. que sa location « au black » devienne légale afin qu’il puisse être en règle et payer ses taxes d’habitation. que le bail oral qu’il a donc moralement contracté avec le notaire se transforme en bail écrit et qu’on lui donne aussi les papiers nécessaires afin qu’il puisse toucher ses droits. que n’avait-il pas fait ? a partir de ce moment là tout a dérapé. la femme du notaire a commencé à s’emporter. a trouver des griefs contre son locataire, violant sa vie privée en dénigrant l’ami d’origine arabe qui habite avec lui, prononçant à son encontre des propos racistes « si vous continuez à habiter avec ce type, je change la serrure et je mets vos affaires dehors » a-t-elle lancé manu militari alors que le jeune homme en question avait eu le malheur de faire entrer un sdf pour qu’il prenne une douche, dans un des appartements vacants de cette résidence saint-didier qui d’ailleurs semble spécialisée dans la location au noir avec la complicité du syndic comme l’avoue le régisseur m.gilain. « s’il y avait que des baux réguliers, je n’aurais pas de problèmes », précise celui-ci bien embêté par toute cette histoire et qui tente d’apaiser les esprits. fort choqué de l’attitude de la femme du notaire, yves berton de kävin’ka, ne s’est évidemment pas laissé faire. ancien journaliste du parisien accrédité à la préfecture de police paris, il a vite mis le holà exigeant si le notaire continuait dans son entêtement d’irrégularité le remboursement intégral des loyers versés pour la location depuis 2004, soit près de 20.000 euros, faisant également valoir que son bail oral comme l’a prévu la loi pour protéger les locataires des propriétaires malhonnêtes est équivalent à un bail écrit et se trouve régit par les mêmes dipositions légales. ce qu’explique d’ailleurs très bien le notaire dans son blog. pour autant, sans doute hystérique de voir qu’une partie du revenu de ses loyers, son argent de poche, allait finalement s’envoler vers d’autres cieux notamment l’administration fiscale, jacqueline plisssoneau-duquêne a commencé à se venger. ne pouvant affronter directement yves berton de kâvin’ka, elle a trouvé plus sournois de continuer à s’en prendre à son ami distillant au fil des jours contre lui des ragots diffamatoires et homophobes, prenant à témoin ses amies de la société bien pensante de la résidence, débridant par la même les chiens de la sécurité de l’accueil qui, de concert avec d’autres propriétaires tout autant indélicats, se sont mis à aboyer avec des propos insultants et continuels. de nombreuses plaintes ont été déposées. traumatisé par un tel déferlement de haine, le pauvre jeune homme a fait plusieurs tentatives de suicide et a dût être hospitalisé. ceci dit, est-ce à cause du même mépris de la suffisance ? toujours est-il qu’olivier plissonneau duquêne, le fils du notaire indélicat, s’est carrément suicidé dans la résidence saint didier, cette même année de 2008, se tuant avec son fusil de chasse. doit-on encore atteindre un nouveau drame pour que la justice intervienne vraiment et fasse respecter le droit ? eden natan posté dans actualite | aucun commentaire » martinique, le notaire plissonneau loue au noir 17 mai 2010 le très respecté ancien notaire de fort de france, maitre guy plissonneau-duquêne, qui à la retraite se targue d’aider les martiniquais sur des problèmes d’héritage et d’immobilier avec un blog mettant nombre d’articles de loi à leur disposition, semble avoir quelque peu oublié pour lui-même les conseils qu’il donne. a paris, il fait ainsi l’objet avec sa femme d’une plainte pour entrave à la loi du 6 juillet 1989 sur les rapports locatifs, manoeuvres frauduleuse et atteinte à la vie privée. alors que la réglementation est stricte obligeant la rédaction d’un bail écrit avec un locataire, lui il se sent au dessus de cela et loue carrément ses logements au noir, se faisant payer en liquide sans délivrer de quittance en totale infraction avec les lois de la république. un comble pour un officier ministériel censé les représenter et les défendre. d’autant plus que son avocat, maître michèle dourdet du cabinet « claude & associés », au lieu de trouver une solution à l’amiable contre un des locataires mécontents, a produit un faux caractérisé en justice qualifiant la location au noir de « prêt à usage gratuit de logement » mentant ainsi sciemment au tribunal d’instance de paris, une plainte pour manquement à la déontologie professionnelle a été transmise contre elle aux bâtonniers thierry wickers et jean castelain (respectivement président du conseil national des barreaux et du barreau de paris). elle risque la radiation, si ce n’est une suspension. l’affaire se passe donc dans les quartiers chics de la capitale, à la résidence saint-didier, , un ensemble de verre et d’acier construit par francis bouygues avec galerie marchande en sous sol. maître guy plissonneau-duquêne y possède plusieurs logements qu’il loue ainsi au noir notamment de 2004 à 2009 au baron charles de varine. comme on dit familièrement entre hypocrisie mondaine et petits fours, tout se passait bien sous le manteau en se moquant du fisc, faisant faire de fausses déclarations, jusqu’à qu’un autre locataire, yves berton de kävin’ ka, également entré dans les lieux en 2004, soit exaspéré d’une telle situation et demande en 2008 qu’on y mette fin. que sa location « au black » devienne légale afin qu’il puisse être en règle et payer ses taxes d’habitation. que le bail oral qu’il a donc moralement contracté avec le notaire se transforme en bail écrit et qu’on lui donne aussi les papiers nécessaires afin qu’il puisse toucher ses droits. que n’avait-il pas fait ? a partir de ce moment là tout a dérapé. la femme du notaire a commencé à s’emporter. a trouver des griefs contre son locataire, violant sa vie p